Voitures oubliées : 30 modèles d'occasion auxquels on ne pense plus

Voitures oubliées : elles sont récentes mais n’ont pas rencontré le succès en France, elles sont méconnues et peu recherchées en occasion. Sélection.

Renault Latitude( 1/30 )

Lancement : hiver 2010-2011 – Fin de carrière : 2015

Elle était censée incarner le nouveau haut de gamme français et faire oublier l’échec de la Vel Satis. Raté ! Produite en Corée, chez Samsung, la Latitude cache une base technique de Laguna. Exclusivement vendue avec des moteurs diesels en France, cette grande berline (4,90 m) était appelée Safrane dans les pays du Golfe. Sur le territoire français, ses ventes sont restées confidentielles. La “platitude”, comme elle était surnommée chez Renault, a vu sa carrière s’arrêter dès 2015.
Fiat Stilo( 2/30 )

Lancement : automne 2001 – Restylage : janvier 2004 – Fin de carrière : 2007
Compacte à 5 portes, coupé à 3 portes, carrosserie break, déclinaison sportive (Abarth 2.4 20V 170 ch), la Fiat Stilo existait en plusieurs carrosseries, et a même profité de séries limitées exclusives, comme cette rare version Michael Schumacher (photo). Cette italienne a été remplacée en 2007 par la Bravo… dont vous avez peut-être, aussi, oublié l’existence !
Peugeot 4008( 3/30 )

Lancement : printemps 2012 – Fin de carrière : 2016
Doté d’une transmission 4x4 et de moteurs diesels de 115 ou 150 ch, le Peugeot 4008 n’est autre qu’un Mitsubishi ASX déguisé. Le principe est exactement le même que pour le 4007, étroitement dérivé du Mitsubishi Outlander. Si la carrosserie du 4008 fait illusion, le dessin de la planche de bord n’a rien de commun avec les productions de Sochaux. Ce modèle de 4,34 mètres de long a également été vendu par Citroën, sous l’appellation C4 Aircross.
Alfa Romeo Brera( 4/30 )

Lancement : fin 2005 - Restylage : été 2008
Brera bien qui Brera le dernier ! En tout cas, cette italienne n’a pas connu une très belle carrière et n’a pas, non plus, convaincu les “alfistes”. Ces traits, signés Giugiaro, n’étaient pourtant pas mal. Mais la beauté ne suffit pas. Sa plate-forme raccourcie d’Alfa Romeo 159, son poids trop élevé et son agrément de conduite quelconque desservaient la Brera, comme ses différents moteurs (essence et diesels), dont un décevant 3.2 V6 260 ch d’origine australienne (Holden).
Nissan Cube( 5/30 )

Lancement : hiver 2009-2010
C’est parce que ses deux prédécesseurs ont rencontré un franc succès sur leur marché national que le Cube a terminé sa course en Europe. Selon les designers Nissan, sa face avant reprend les traits d’un bouledogue portant des lunettes, tandis que le dessin de l’arrière s’inspirait, toujours selon eux, de la chute de reins de Jennifer Lopez ! L’ensemble est très original, avec des panneaux de carrosserie asymétrique et un hayon s’ouvrant comme la porte d’un réfrigérateur. Le Cube “3” s’étend sur 3,98 m, dispose de moteurs essence/diesel de 110 ch et repose sur une base de Micra. Un modèle à collectionner !
Opel Signum( 6/30 )

Lancement : 2003 – Restylage : 2005 – Fin de carrière : 2008
Que s’est-il passé, chez Opel, entre l’Omega et l’Insignia ? Ceci ! Appelée Signum, cette étrange berline produite entre 2003 et 2008 n’était ni une bonne, ni une mauvaise voiture. Trop ferme en suspension, comme presque toutes les Opel de cette époque, l’Allemande mesurait 4,64 mètres de long. Elle comptait parmi ses concurrentes la Peugeot 607, mais souffrait de la comparaison avec les modèles “premiums” badgés Audi, BMW et Mercedes.
Jeep Commander( 7/30 )

Lancement : 2005 – Fin de carrière : 2010
On a le droit de ne pas aimer. Mais avec ses lignes cubiques dignes d’un fourgon de la Brink’s, ses atours de véhicule militaire et son gabarit imposant (4,79 m), ce char fabriqué aux USA et en Autriche en impose. Jeep, marque de 4x4 la plus emblématique (avec Land Rover), a lancé en 2004 le Commander, techniquement très proche du Grand Cherokee mais capable d’embarquer 7 sièges, dont deux places de troisième rang franchement étriquées. Sous le capot de ce 4x4 de plus de 2 tonnes, un V6 diesel d’origine Mercedes, développant 218 ch.
Honda CR-Z( 8/30 )

Lancement : été 2010 – Fin de carrière : 2014
Héritière de la fameuse CR-X, la CR-Z est passée inaperçue ! Ce petit coupé (4,08 m) était, comme la méconnue Honda Insight, une hybride. Le CR-Z associait un moteur thermique de 114 ch à un électrique de 14 ch, le tout couplé à une boîte de vitesses mécanique. Rien d’excitant au chapitre des performances, y compris sur l’évolution, portée à 137 ch… Le look sympa et original de cette japonaise n’aura pas suffi ! S’agirait-il d’un futur collector ?
Skoda Roomster( 9/30 )

Lancement : été 2006 – Restylage : mai 2010 – Fin de carrière : 2015
Avec son faciès de citadine (proche de la Fabia) et sa poupe d’utilitaire, l’étrange Roomster était un mélange des genres. Au volant, le tchèque était équilibré, rassurant et précis. Dommage que ses diesels aient souffert d’une insonorisation quelconque, notamment avec le 3-cylindres 1.4 TDi qui vibrait énormément. L’habitabilité est excellente au vu du gabarit (4,21) et le coffre est géant. Une bonne petite et pratique voiture, à trouver à bas pris sur le marché de l’occasion.
Renault Wind( 10/30 )

Lancement : été 2010 – Fin de carrière : 2012
Il s’agit probablement d’un futur collector ! Mais en attendant d’accéder à ce statut, la Wind, lancée à l’été 2010, est plutôt un flop. Si bien que plus personne ne pense à elle, à ce roadster taille enfant, basé sur une plate-forme de Twingo, et dont le toit rigide s’escamote en pivotant à 180°, en douze secondes, à la manière d’une Ferrari 575 Superamerica. La Wind, dont le coffre cube 270 litres quelle que soit la position du coffre, était proposée avec le 1.2 TCe 100 ch et le 1.6 16v 133 ch.
Fiat Freemont( 11/30 )

Lancement : printemps 2011 – Fin de carrière : 2016
S’il était fabriqué au Mexique, dans une usine du groupe Chrysler, c’est parce qu’avant d’être un Fiat Journey, cette voiture à mi-chemin entre SUV et monospace était, depuis 2007, un Dodge Journey. Capable d’accueillir 7 places, cet engin de 4,89 m, insuffisamment insonorisé et souffrant d’une médiocre finition, a été repensé lorsqu’il a atterri sous le blason italien : restylage et nouvelle planche de bord, moteurs remplacés. Il a même été proposé avec quatre roues motrices.
Ford Fusion( 12/30 )

Lancement : automne 2002 – Restylage : novembre 2005 – Fin de carrière : 2011
Le “savoir-tout-faire” mène parfois à cela : une petite voiture qui se veut citadine, branchée, pratique et spacieuse. Si son design ne laissera pas une trace inoubliable, cet engin à mi-chemin entre mini-monospace et tout petit break était pratique et plutôt agréable à conduire, grâce à sa plate-forme de Fiesta. La Fusion a été vendue entre 2002 et 2011. En diesel (70 ou 90 ch) comme en essence (80 ou 100 ch), il doit y avoir de bonnes affaires sur le marché de l’occasion !
Mazda 3 MPS( 13/30 )

Lancement : 2006 – Fin de carrière : 2009
Malheureusement, elle n’est pas inconnue des amateurs de compactes sportives. Cela signifie donc qu’elle a conservé une certaine cote sur le marché de l’occasion. Lancée en 2006, la discrète “3” MPS a été, à son lancement, la compacte sportive la plus puissante de sa génération ! Réputée très fiable, elle était efficace et performante, grâce à ses 260 ch et son différentiel autobloquant. Elle avait en revanche tendance à copier la route, obligeant le conducteur à bien serrer le volant. Mais quel régal ! Tarif : 27 200 € au printemps 2007. Sa remplaçante, qui a conservé son appellation, est sortie en septembre 2009, avec le même 4-cylindres 2.3 litres turbo de 260 ch.
Toyota Yaris Verso( 14/30 )

Lancement : printemps 2000 – Fin de carrière : 2005
Imaginez une Yaris dans laquelle on aurait soufflé très, très fort : voici la Yaris Verso. Baptisée Funcargo au Japon, cette déclinaison a été produite jusqu’en 2005, puis remplacée par la “Verso S”. Ici en version restylée, la japonaise était assemblée au Japon et en Tunisie. Si son look hasardeux ne restera pas dans les annales, ses aspects pratiques ont largement séduit les propriétaires.
Hyundai Sonata( 15/30 )

Lancement : printemps 2005 – Fin de carrière : janvier 2011
La cinquième génération de Sonata, qui dominait son marché coréen et s’écoulait très bien aussi en Amérique du nord, était vendue à environ 250 exemplaires par an seulement, en France, entre 2005 et 2010. Cette berline, dont l’héritière s’appelle i40, profitait d’un grand coffre (523 litres) et d’un amortissement souple pour générer un bon confort. Chez nous, elle n’était proposée qu’avec un 2.0 diesel CRDi ou un 2.4 essence. Elle était richement équipée mais son comportement routier manquait de précision et de rigueur.
SsangYong Kyron( 16/30 )

Lancement : novembre 2005 – Restylage : fin 2007
Son nom n’a rien à voir avec celui de l’humoriste, encore inconnu à l’époque. À peine plus élégant qu’une arroseuse municipale, ce gros, spacieux et bien équipé SUV de 4,66 m de long a été restylé en 2007 (photo). Avec son diesel 200 XDi 141 ch, le Kyron se contente d’une transmission 4x4 enclenchable, mais jouit de quatre roues motrices permanentes avec le 5-cylindres diesel 270 XDi 165 ch. Mal amorti, mal insonorisé et souffrant de mauvais pneus en première monte, le coréen présentait de piètres qualité routières.
Daihatsu Materia( 17/30 )

Lancement : printemps 2007
Elle est tombée aux oubliettes, alors que c’était probablement la Daihatsu la plus marquante parmi les modèles importés en France. Dessinée à l’équerre, à la façon d’un coffre-fort, la Materia (vendue au Japon sous le nom de Toyota bB) repose sur une plate-forme de Yaris. Banquette arrière coulissante et rabattable dans le plancher, habitabilité géante, encombrement réduit (3,80 m), cette pratique citadine déguisée en monospace avait tout pour plaire !
Jaguar X-Type( 18/30 )

Lancement : printemps 2001 – Restylage : janvier 2008 – Fin de carrière : décembre 2009
Sa mission : faire passer Jaguar du rang d’artisan à celui d’industriel. Échec cuisant. La X-Type a pourtant tout essayé, jusqu’à recevoir le premier diesel de l’histoire de la marque anglaise, à adopter des roues avant motrices et à se muer en break (encore une première !). Bref, la “X” était une bonne Ford Mondeo (dont elle reprenait la plate-forme) déguisée. Heureusement, les versions à essence (V6 2.5/196 ch et 3.0/231 ch) étaient agréables. Née en 2001 et légèrement restylée en 2008, la X-Type n’a pas été remplacée… jusqu’à l’arrivée de la XE, mieux pensée, en 2015.
Dodge Nitro( 19/30 )

Lancement : été 2007 - Fin de carrière : 2010
Dans le genre “voiture oubliée”, il figure parmi les rois. Fort en gueule, avec sa tête de brute et sa carrure, ce SUV cumulait les tares de la voiture bas de gamme américaine. Diesel (2.8 CRD) beaucoup trop bruyant, moteur essence 4.0 V6 qui boit comme un soldat, commande de boîte désagréable, rusticité assumée, finition désinvolte et habitabilité décevante. Voilà le résultat !
Lancia Musa( 20/30 )

Lancement : printemps 2004 – Restylage : automne 2007 - Fin de carrière : 2012
Le Musa, mini-monospace urbain, aura été fabriqué à plus de 200 000 exemplaires. Pas si mal pour une Fiat Idéa rebadgée, vendue plus chère et un peu mieux équipée. Pas franchement agréable à conduire, pas dynamique et mal insonorisé, l’italien a connu la carrière qu’il méritait. Son gabarit réduit (3,99 m) se montre toutefois idéal pour les parcours urbains.
Mercedes Classe A( 21/30 )

Lancement : automne 2004 – Restylage : juin 2008 – Fin de carrière : 2012
Avec la “A”, apparue fin 1997, Mercedes a été le premier des trois grands constructeurs premiums allemands à proposer une compacte chic. Son histoire a d’ailleurs très mal commencé, avec la fameuse affaire des tonneaux. La seconde mouture (photo), appelée W169 et lancée en 2004, était déclinée jusqu’en 2010 avec une originale carrosserie à trois portes, proposée avec un 2.0 essence turbo de 193 ch, une puissance que le train avant peinait à contrôler. Mais c’est la troisième génération, abandonnant totalement l’architecture de mini-monospace, qui a fait tomber les premières Classe A dans l’oubli.
Mitsubishi Grandis( 22/30 )

Lancement : printemps 2005 – Fin de carrière : 2009
Rouler dans un grand monospace acheté neuf au prix d’une familiale, c’était possible ! Pour cela il fallait se rendre chez “Mitsu”, à partir de l’année 2005. Mais peu de gens l’ont fait. Ce monospace 7 places de 4,80 m était plutôt bien équipé (6 airbags, climatisation, jantes alliage…), confortable, vaste, et il tenait bien la route. Sous le capot, il a brièvement profité d’un 2.4 essence avant de le troquer contre un diesel d’origine Volkswagen, un sobre mais trop bruyant TDI injecteurs-pompes 136 ch.
Opel GT( 23/30 )

Lancement : 2007 - Fin de carrière : 2010
Née et produite aux Etats-Unis, cette génération d’Opel GT est une Pontiac Solstice rebadgée (identique à la Saturn Sky). Mais malgré ses origines, elle n’a pas V8, juste un 4-cylindres turbo de 264 ch, tout de même. Cette GT (2 places, 4,10 m de long, moins de 1 400 kg), franchement performante, dont le coffre peine à accueillir un sac de sport (157 litres, mais seulement 66 litres une fois la capote en toile repliée), n’offrait pas un comportement routier sain. Par ailleurs, elle n’était pas aussi marquante que sa devancière, appelée Speedster, très légère et sportive, car dérivée d’une Lotus.
Volvo C30( 24/30 )

Rivale décalée des Audi A3 et Volkswagen Golf d’époque, la C30 n’existait qu’en 3 portes, avec 4 places et un trop petit et peu pratique coffre. Aussi jolie à regarder qu’agréable à vivre, avec une planche de bord épurée et chaleureuse, cette compacte se révélait très agréable à conduire avec ses moteurs essence à 5 cylindres ; un 2.4 170 ch et un 2.4 turbo 225 ch sur la version T5.
Chrysler Sebring( 25/30 )

Lancement : 2006 – Fin de carrière : 2010 En France, la carrière de la Sebring a été compliquée ! Ainsi, ce modèle lancé en 2006 en berline n’était, en 2010, plus importé… qu’en cabriolet à toit rigide escamotable. Très longue (4,93 m), cette version assemblée sur une plate-forme des Mitsubishi Lancer et Dodge Avenger (encore des modèles oubliés !) n’avait pas d’énorme défaut mais pas, non plus, de qualité particulière. Bref, une honnête charrette, vendue avec un diesel TDI 140 ch à injecteurs-pompes, déjà vieillissant à l’époque, ou un gros et glouton mais peu puissant 2.7 V6 essence de 186 ch.
Saab 9-5( 26/30 )

Lancement : printemps 2010 – Fin de carrière : rapide ! (2011)
Saab, marque née en 1947, est passée sous giron américain (General Motors) avant de sombrer, à l’image de sa dernière berline, la 9-5. Lancée en 2010, fabriquée en Suède, longue de 5,01 mètres, elle repose sur une plate-forme dérivée de l’Opel Insignia. Sa commercialisation s’est arrêtée lorsque la marque a mis la clé sous la porte ! À coup sûr, la 9-5 est un modèle à collectionner.
Chevrolet Orlando( 27/30 )

Lancement : hiver 2010-2011
Marque populaire et bon marché outre-Atlantique, Chevrolet a avalé la marque coréenne Daewoo et s’est implanté en Europe avec des modèles rebadgés, venant d’Asie. Le monospace compact Orlando, présenté fin 2010, repose sur une plate-forme de Cruze, s’étend sur 4,65 m et peut embarquer 7 personnes. S’il s’agissait d’un achat pragmatique, ce monospace vendu à partir de 20 200 € en 2011 n’a franchement pas marqué l’histoire… La décision de General Motors de ne plus vendre Chevrolet en Europe a été prise fin 2013.
Seat Altea( 28/30 )

Lancement : été 2004 – Restylage : mai 2009 – Fin de carrière : 2015
Berline compacte “monospacisée” reposant sur une base de Leon, l’Altea a existé en version classique (photo), en Altea XL (+ 19 cm, 5 places) et en Altea Freetrack (look de baroudeur, garde-au-sol rehaussée). Cette dernière déclinaison pouvait même recevoir 4 roues motrices (par coupleur Haldex). Si la modularité était insuffisante pour concurrencer les “vrais” monospaces compacts, la tenue de route, l’agrément de conduite et les mécaniques (essence TSI, diesels TDI, transmission DSG…) étaient à la page.
Subaru Justy( 29/30 )

Lancement : printemps 2008 - Fin de carrière : 2010
Vous ne vous en souveniez pas ? Nous non plus ! À part les afficionados de Subaru, fidèles à leur concessionnaire, on se demande qui a pu acheter la Justy. Clone de la Daihatsu Sirion, cette citadine 5 portes à roues avant motrices était bien équipée. Maniable et aussi compacte qu’une Twingo (3,61 m), la japonaise était animée par un 3-cylindres essence 69 ch, d’origine Toyota. À bord, il y a plein de rangements et la modularité (assises et dossiers rabattables) permet de ménager un plancher plat, mais la finition déçoit et le confort souffre d’une fermeté excessive de l’amortissement.
Volkswagen Crossgolf( 30/30 )

Lancement : printemps 2007
Grâce à leurs appellations qui durent depuis des décennies (Golf, Polo, Passat…), les Volkswagen semblent inoubliables. Revers de la médaille : quand une nouvelle dénomination est utilisée, notamment sur une déclinaison d’un véhicule existant, elle tombe vite dans l’oubli. L’un des meilleurs exemples ? La Crossgolf, qui était une Golf Plus déguisée en baroudeur, rehaussée de 2 cm et dotée de barres de toit. Bref, rien d’inoubliable.

Les voitures oubliées – Il nous arrive de les croiser sans les remarquer. Ou, au contraire, d’être surpris lorsqu’elles nous passent sous le nez. Ces voitures, toutes apparues dans les années 2000, sont sorties de notre mémoire.

Parmi ces voitures oubliées, certaines n’ont pas eu la carrière qu’elles méritaient. Malaimées ou rapidement démodées, parfois trop originales ou, à l’inverse, trop banales, elles n’ont pas atteint leurs objectifs de ventes ou ont été remplacées par des modèles plus “tendances”. Certaines d’entre elles sont des modèles rebadgés, nés sous une marque puis déguisés en Renault ou Peugeot, par exemple. D’autres proviennent de constructeurs méconnus en France ou souffrant d’un trop petit réseau de distribution. Bref, le résultat est toujours le même : ces voitures, on n’y pense jamais !

Faut-il profiter de leur absence de notoriété (et donc de leur faible cote) pour investir ? Ou faut-il fuir ces modèles, parfois agréables à conduire et réputés fiables, mais très peu recherchés sur le marché de l’occasion ? À vous de voir…

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